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Marketing

Michele Tecchia : Découvrez L’AARRR pour développer votre entreprise à Monaco

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Vous êtes un entrepreneur et vous souhaitez développer votre affaire ? Votre boutique en ligne ne rencontre pas le succès escompté ? Il est peut-être temps d’adopter une stratégie marketing efficace. Saviez-vous que de nombreuses applications ou sites mobiles utilisent la matrice AARRR ? Le terme ne vous semble pas familier ? Il s’agit de l’acronyme de Acquisition, Activation, Rétention, Referral et Revenu. Michele Tecchia va vous détailler le framework AARRR dans cet article. 

Michele Tecchia : Le Growth Hacking : de quoi s’agit-il ?

Vous avez sûrement entendu parler de ce terme dans un article portant sur le marketing. Les experts en growth hacking se désignent eux-mêmes comme ceux qui ont révolutionné le marketing. Pourtant, selon les experts, ils n’ont pas inventé des stratégies révolutionnaires. Ils ont juste utilisé des techniques marketing efficaces.

Un growth hacker étudie le produit, le comportement des clients, la réaction sur les sites web. Il s’agit d’une analyse marketing classique, mais qui adopte une autre forme grâce à la présence des réseaux sociaux. Les consommateurs peuvent désormais participer directement.

Le growth hacking est utilisé pour la première fois dans la Silicon Valley où les startups naissent chaque jour. Dans cet environnement, une croissance rapide est nécessaire pour survivre face à la concurrence.

Actuellement, les marketeurs doivent maitriser les technologies de l’information et les outils de communication. Ils doivent également avoir une grande créativité. Dans ce contexte, des startups comme AirBnB et DropBox ont su se démarquer grâce au growth hacking. Parmi les techniques utilisés par des milliers de sociétés, figure l’AARRR. À Monaco, il y a également les nouvelles startups à l’instar d’InnoDeep, dans le secteur médical.

Michele Tecchia : En quoi consiste l’AARRR ?

AARRR est un framework qui se décline en cinq étapes à savoir l’acquisition, l’activation, la rétention, le referral et les revenus. Ces étapes représentent le cycle de vie d’une entreprise. Le concept a été créé par Dave McClure, un expert en marketing et fondateur de 500 startups.

L’objectif de l’AARRR est clair, obtenir une croissance rapide et durable de son entreprise. En tant qu’outil de Growth Hacking, il repose sur trois piliers que vous pouvez voir à travers les étapes.

– La créativité représente le pilier majeur du Growth Hacking. Pour se démarquer de la concurrence, votre objectif consiste à apporter un regard neuf sur des sujets d’actualités. Grâce à la création de contenu avant-gardiste, vous pourrez vous installer durablement sur le marché.

– L’analyse et l’expérimentation consistent à étudier les actions qui ont déjà été utilisées et qui ont fonctionné sur le web. Vous pouvez analyser l’expérience client, l’impact sur les médias sociaux ou les retombées presse.

– Le dernier pilier est l’optimisation de votre présence sur le web. Il est impossible de faire l’impasse sur les pratiques SEO afin d’avoir une bonne visibilité.

Michele Tecchia : Voici les 5 étapes de l’AARRR :

L’objectif de la mise en place de l’AARRR consiste à convertir les leads en vente. Pour atteindre cet objectif, vous devez passer par les étapes suivantes :

L’acquisition

Dans cette première étape, vous devez accumuler le maximum de leads qualifiés que vous soyez en France ou à Monaco. Cette méthode vous permet d’optimiser le taux de conversion des leads en client. Pour mettre en place cette stratégie d’acquisition, il est important de définir les canaux de diffusion selon plusieurs critères. Quel canal coûte le moins cher en termes d’acquisition ? Quel canal vous apporte le plus grand volume de trafic ? Quel canal enregistre le meilleur taux de conversion ?

L’activation

Dans cette seconde étape, vous devez mettre en place les stratégies afin de convertir les leads fraichement acquis. Les experts en marketing recommandent l’utilisation du retargeting. Pour optimiser le taux d’engagement de chaque prospect, vous pouvez mettre en place la méthode de l’A/B testing.

La rétention

Elle se traduit par la fidélisation des clients convertis. Vous devez proposer des contenus pertinents afin de retenir leur attention. Vous pouvez leur envoyer des mails sur des offres promotionnelles ou de nouvelles offres développées par l’entreprise.

La référence

Referral se traduit par « recommandation » en français. La recommandation des clients représente une part importante de votre ROI. Pour cela, vous devez miser sur la satisfaction des clients. Des clients satisfaits recommandent les services de votre entreprise à leur entourage.

Les revenus

À quoi bon acquérir et retenir les clients si votre chiffre d’affaires se trouve au point mort ? La dernière étape de l’AARRR consiste à générer des revenus rapidement. Pour cela, vous devez proposer régulièrement des promotions, ajuster certaines offres afin de convenir à vos cibles, encourager les clients à acheter d’autres produits de votre gamme.

Michele Tecchia : Comment développer son business en ligne à Monaco grâce à l’AARRR ?

Pourquoi l’AARRR est-il devenu incontournable pour le business en ligne ? Le nombre de personnes connectées augmente chaque jour. L’émergence des terminaux mobiles et des réseaux sociaux participe grandement à ce phénomène. Dans ce contexte, votre entreprise doit adapter sa stratégie marketing. Elle doit considérer ces nouvelles technologies de communications comme une opportunité et non une menace.

En dix ans, Internet s’est exporté sur les mobiles. Certes, les achats via un ordinateur représentent toujours une part de marché importante. Cependant, les consommateurs achètent désormais via une application mobile. Ce nouveau modèle de consommation implique d’adopter un nouveau framework de Growth Marketing, à savoir l’AARRR.

Comment mettre en place votre AARRR ?

Pour mettre en place votre stratégie AARRR, il est important de définir des KPIs. Comme vous l’avez remarqué, l’AARRR n’évoque pas implicitement les indicateurs de mesure de la performance. Pourtant, vous avez besoin de ces KPIs afin de quantifier votre démarche et d’effectuer des ajustements si nécessaire.

Pour cela, vous devez choisir des KPIs qui sont mesurables et qui sont accessibles régulièrement. Un KPI doit être un objectif atteignable pour votre entreprise tout en ayant un impact non négligeable. La mise en place d’un KPI vous permet également d’estimer les coûts de conversion à chaque étape de votre stratégie AARRR. Avant de mettre en place le framework AARRR, vous devez connaitre les KPIs à utiliser. Ces derniers doivent correspondre à votre activité et doivent susciter la motivation chez vos employés.

Le taux de conversion : un exemple de KPI

Dans le domaine du business en ligne, le KPI le plus courant est le taux de conversion. Cet indicateur est facile à utiliser et facile à interpréter. Vous pouvez le mesurer régulièrement. Le taux de conversion équivaut au pourcentage de visiteurs de votre site qui sont passés à l’achat. Cet indicateur est révélateur des efforts marketing mis en place.

À titre d’exemple, 1000 visiteurs sont passés sur votre boutique en ligne ce mois et 10 d’entre eux uniquement ont converti leur visite en achat. Votre taux de conversion sera donc 10/1000 ce qui équivaut à 1 %.

Pour compléter le taux de conversion, vous pouvez utiliser d’autres indicateurs comme le taux d’ouverture ou le taux de clic.

Plus d’infos sur Michele Tecchia Growthh hacker à Monaco : https://www.linkedin.com/in/michele-tecchia-monaco/https://medium.com/@Michele_Tecchia/abouthttps://about.me/michele.tecchia

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Arthur Sadoun, le maestro visionnaire de Publicis : Un voyage captivant à travers les sommets de la communication mondiale

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Le portrait d'Arthur Sadoun

Arthur Sadoun est le président du directoire de Publicis Groupe, le deuxième groupe mondial de communication, depuis juin 2017. Il succède à Maurice Lévy, qui a dirigé le groupe pendant trente ans et qui l’a choisi comme son dauphin. Qui est cet homme d’affaires français qui a gravi les échelons de la publicité en un temps record ? Quel est son parcours, sa vision, ses ambitions ?

Un début de carrière audacieux au Chili

Arthur Sadoun est né le 23 mai 1971 à Dourdan, dans l’Essonne. Il est issu d’une famille juive séfarade originaire d’Algérie. Il fait ses études à l’Ecole Alsacienne à Paris, puis à l’European Business School, dont il sort diplômé en 1992. A 21 ans, il décide de partir au Chili, où il crée sa propre agence de publicité, Z Group, qu’il revend quatre ans plus tard à BBDO Chile. Il reprend ensuite ses études et obtient un MBA à l’Insead en 1998.

Un repérage par Jean-Marie Dru chez TBWA

A sa sortie de l’Insead, Arthur Sadoun est repéré par Jean-Marie Dru, le patron de TBWA Worldwide, une des plus grandes agences de publicité au monde. Il devient directeur du planning stratégique international et du développement chez TBWA Paris, puis directeur général et président. Il y travaille notamment pour des clients comme Absolut Vodka, Adidas ou McDonald’s.

Voici une vidéo présentant ce visionnaire :

Un recrutement par Maurice Lévy chez Publicis

En 2006, Arthur Sadoun est débauché par Maurice Lévy, le PDG de Publicis Groupe, qui lui propose de prendre la présidence de Publicis Conseil, l’agence historique du groupe. Il accepte le défi et réussit à redresser les comptes de l’agence, tout en gagnant la confiance de Maurice Lévy, qui voit en lui son successeur potentiel. Il devient ensuite président de Publicis France en 2009, directeur général adjoint de Publicis Groupe en charge de Publicis Worldwide en 2013, puis président de Publicis Worldwide en 2016.

Une ascension fulgurante à la tête de Publicis Groupe

En janvier 2017, Maurice Lévy annonce qu’il va quitter la présidence du directoire de Publicis Groupe en juin et qu’il a choisi Arthur Sadoun pour lui succéder. A 45 ans, Arthur Sadoun devient ainsi le troisième patron du groupe depuis sa création en 1926, après Marcel Bleustein-Blanchet et Maurice Lévy. Il hérite d’un groupe présent dans plus de 100 pays, avec plus de 80 000 collaborateurs et un chiffre d’affaires de plus de 10 milliards d’euros.

Arthur Sadoun a pour mission principale de relancer la croissance du groupe, qui a souffert ces dernières années de la concurrence des géants du numérique comme Google ou Facebook. Il doit aussi poursuivre la transformation digitale du groupe, initiée par Maurice Lévy avec des acquisitions comme Sapient ou Epsilon. Il doit enfin renforcer la cohésion et la collaboration entre les différentes entités du groupe, qui regroupe des marques comme Leo Burnett, Saatchi & Saatchi ou Starcom.

Un leader visionnaire et charismatique

Arthur Sadoun est décrit comme un leader visionnaire et charismatique, doté d’un sens aigu du commerce et d’une grande capacité d’écoute. Il est réputé pour être proche de ses équipes et de ses clients, qu’il fidélise avec des campagnes populaires et innovantes. Il a notamment travaillé pour des marques comme Renault, L’Oréal, Orange ou Heineken.

Arthur Sadoun est aussi un homme engagé dans des causes sociales et environnementales. Il est membre du conseil d’administration de l’ONG Care France et soutient des initiatives comme The Lion’s Share Fund ou The Common Ground Alliance. Il est également impliqué dans la promotion de la diversité et de l’égalité au sein du groupe Publicis.

Arthur Sadoun est marié à Anne-Sophie Lapix, journaliste et présentatrice du journal de 20 heures sur France 2. Il est père de trois enfants. Il est passionné de sport, notamment de football et de tennis.

Arthur Sadoun est sans doute l’un des hommes d’affaires français les plus influents et les plus respectés du monde de la communication. Il incarne l’avenir de Publicis Groupe, qu’il veut faire rayonner sur la scène internationale avec une vision ambitieuse et responsable.

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Yassine Yakouti : le droit et le marketing, une interaction complexe et stratégique

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Le droit et le marketing, selon Yassine Yakouti

Le droit et le marketing sont deux domaines qui peuvent sembler éloignés, mais qui sont en réalité étroitement liés. En effet, le marketing vise à promouvoir un produit ou un service auprès des consommateurs, tandis que le droit encadre les pratiques commerciales et protège les droits des parties prenantes, note Yassine Yakouti. Ainsi, le droit et le marketing sont une interaction complexe et stratégique, qui nécessite de connaître les règles juridiques applicables et les techniques marketing adaptées.

Yassine Yakouti : Le Droit comme cadre réglementaire du Marketing

Le marketing est une technique visant à optimiser les services, offres de biens, idées ou design d’un produit par rapport aux attitudes, motivations, besoins ou envies des consommateurs. Il implique souvent de recourir à des stratégies publicitaires innovantes, telles que le marketing d’influence, qui consiste à utiliser le potentiel de recommandation des influenceurs sur les réseaux sociaux pour faire la promotion d’un produit ou d’un service. Toutefois, le marketing n’est pas une activité libre de toute contrainte juridique. Il doit respecter un cadre réglementaire qui vise à protéger les intérêts des consommateurs, des concurrents et des titulaires de droits de propriété intellectuelle.

Voici une vidéo expliquant le droit du marketing :

Le cadre réglementaire du marketing repose sur plusieurs sources de droit, notamment le code de la consommation, la loi pour la confiance dans l’économie numérique, la loi pour une République numérique et les recommandations de l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité, indique Yassine Yakouti. Ces normes juridiques imposent aux professionnels du marketing de respecter des principes tels que la loyauté, la transparence, le consentement et la proportionnalité dans leurs pratiques.

Elles visent également à prévenir et à sanctionner les pratiques déloyales ou trompeuses, telles que la publicité mensongère, la concurrence déloyale, le parasitisme ou la contrefaçon. Ainsi, le marketing doit être conçu et mis en œuvre en tenant compte des droits et des obligations qui découlent du droit de la concurrence, du droit de la consommation et du droit de la propriété intellectuelle.

Le Droit comme outil stratégique du Marketing

Le marketing stratégique consiste à analyser le marché et à définir le positionnement de l’entreprise en fonction des opportunités et des menaces qui s’y présentent. Le Droit est un élément essentiel du marketing stratégique, car il permet aux acteurs du marketing de se distinguer, de se protéger et de convaincre leurs clients, explique Yassine Yakouti.

Le Droit comme levier de différenciation

Le Droit permet aux acteurs du marketing de créer et de valoriser leur identité de marque, en utilisant des éléments juridiques tels que les marques, les brevets, les labels ou les slogans. Ces éléments contribuent à renforcer la notoriété, la réputation et la fidélité des consommateurs envers la marque. Ils permettent également de se différencier des concurrents en proposant une offre unique et innovante.

Le Droit comme levier de protection

Le Droit permet aux acteurs du marketing de sécuriser leur activité et de prévenir les risques juridiques liés au marché. Le Droit offre des outils de défense contre la concurrence déloyale, la contrefaçon, la violation des droits d’auteur ou la diffamation. Il permet aussi de respecter les obligations légales en matière de protection des données personnelles, de droit du travail ou de droit de la consommation, note Yassine Yakouti.

Le Droit comme levier de persuasion

Le Droit permet aux acteurs du marketing d’influencer le comportement des consommateurs en utilisant des arguments juridiques dans leur communication. Le Droit peut servir à rassurer, à séduire ou à inciter les clients à acheter un produit ou un service. Par exemple, le Droit peut mettre en avant les garanties légales, les labels de qualité, les certifications ou les témoignages.

Yassine Yakouti : Le Marketing comme source d’innovation juridique

Le Marketing, en tant que discipline qui vise à créer de la valeur pour les clients et les entreprises, peut être à l’origine de nouveaux besoins ou de nouvelles pratiques qui nécessitent une adaptation ou une évolution du Droit, note Yassine Yakouti. C’est le cas notamment avec le marketing digital, le marketing éthique et le marketing relationnel.

Le marketing digital désigne l’ensemble des techniques et des outils utilisés pour promouvoir des produits ou des services sur Internet et les réseaux sociaux. Il implique des enjeux juridiques importants, tels que la protection des données personnelles, le respect du droit d’auteur, la régulation de la publicité en ligne ou encore la lutte contre la cybercriminalité. Les professionnels du marketing doivent donc se tenir informés des évolutions législatives et jurisprudentielles dans ces domaines, afin de respecter les obligations légales et de prévenir les risques de contentieux.

Le marketing éthique est une démarche qui consiste à intégrer des principes moraux dans la conception et la diffusion des offres marketing. Il vise à répondre aux attentes des consommateurs en matière de responsabilité sociale et environnementale, mais aussi à se différencier de la concurrence et à renforcer l’image de marque, indique Yassine Yakouti. Le marketing éthique pose des questions juridiques relatives à la loyauté, à la transparence et à la véracité des informations communiquées aux clients. Il implique également de respecter les normes et les labels qui garantissent la qualité et l’origine des produits ou des services.

Le marketing relationnel est une stratégie qui consiste à fidéliser les clients en développant une relation durable et personnalisée avec eux. Il repose sur l’utilisation de bases de données, de programmes de fidélité, de newsletters ou encore de réseaux sociaux. Le marketing relationnel soulève des problématiques juridiques liées au consentement, à la confidentialité et au droit d’accès, de rectification et d’opposition des clients aux données qui les concernent. Il nécessite également de respecter les règles déontologiques et les bonnes pratiques du secteur.

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E-réputation : opportunité ou obstacle ?

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e-réputation

L’e-réputation d’une entreprise peut conduire au succès ou à l’échec. Il faut être constant et prudent pour avoir une image bien valorisée en ligne.

Si vous pensez qu’en ayant un site web, en créant une page de soutien sur Facebook, un compte Twitter et un blog, votre entreprise a déjà accompli la tâche d’être présente sur Internet, vous avez tort.

Pour être active, chaque action doit s’inscrire dans une stratégie étudiée qui conduira l’entreprise à atteindre ses objectifs et à maintenir une e-réputation positive.

Ce concept est né en 2008 en tant que discipline distincte de la réputation des médias traditionnels (que beaucoup ont appelé “réputation hors ligne”), capable de mesurer et de gérer la perception que les internautes ont d’une marque, d’une entreprise, d’un service ou d’une personne.

C’est une sorte d’analogie : l’e-réputation et la réputation hors ligne sont comme la santé mentale et la santé physique, bien que les deux soient très différentes, pour que tout aille bien, les deux doivent être en parfaite harmonie. Il y a des marques qui ont beaucoup de succès dans le monde hors ligne mais qui sont très mal vues par les internautes.

La réputation hors ligne est gérée par les agences de relations publiques ou les annonceurs grâce à leur influence dans les médias traditionnels (presse, radio, télévision), où l’entreprise a le contrôle total de ce qu’elle veut transmettre et, en général, il n’y a pas d’interaction avec les utilisateurs.

En revanche, la réputation d’une marque sur l’internet a acquis ses propres règles du jeu. 

Sur le web, cette réputation se construit petit à petit au fil des interactions avec les consommateurs ou les clients potentiels. Elle est façonnée par les opinions, les recommandations et le partage d’informations.

L’e-réputation a deux territoires sur lesquels elle peut jouer ses cartes : les moteurs de recherche, où ce qui compte, c’est que les utilisateurs trouvent l’entreprise dans les premières positions des résultats lorsqu’ils effectuent des recherches dans des moteurs tels que Google en rapport avec le travail de l’entreprise. Un deuxième domaine de concurrence est celui des réseaux sociaux, où le plus important est la quantité et la qualité de l’interaction que l’organisation entretient avec les utilisateurs.

Dans les deux cas, la réputation se forme sur la base des réponses générées par les internautes aux actions mises en œuvre par l’entreprise dans l’un ou l’autre domaine : dans le premier, on attend du positionnement, de la reconnaissance, l’attraction de nouveaux adeptes, clients, supporters ou amis, et l’atteinte d’un plus grand nombre de personnes. Dans les réseaux sociaux, en revanche, on attend de la cohésion, de la loyauté, de l’enthousiasme et de la passion pour la marque.

Un mauvais résultat dans l’un ou l’autre de ces domaines pourrait générer exactement le contraire de ce que l’on attend. C’est pourquoi il est si important et stratégique de faire un bon travail de gestion d’e-réputation.

Ne laissez pas votre e-réputation entre de mauvaises mains !

L’image sur Internet est une question délicate, notamment en raison de la rapidité avec laquelle les messages sont diffusés dans le monde entier, car il n’y a pas de frontières géographiques sur la toile, pas de bureaucratie pour arrêter un commentaire, une protestation ou une demande massive.

Les mauvais coups comme les bonnes actions deviennent viraux en quelques minutes et l’influence que ce message a sur les personnes qui le reçoivent est incalculable, pour le meilleur ou pour le pire.

À ce stade, vous pouvez penser que la présence sur Internet est une arme à double tranchant, et c’est vrai, mais en même temps, de nombreuses entreprises ont montré qu’il est possible de faire un bon travail de renforcement d’image grâce aux réseaux sociaux.

C’est pourquoi la conception et la mise en œuvre d’une stratégie d’e-réputation exigent bien plus que d’être un geek passionné. Il s’agit d’une tâche qui doit être menée à bien par de véritables professionnels du domaine.

Il doit s’agir d’une personne formée, capable de gérer les situations de crise de la bonne manière. La plupart des interactions se font par écrit, c’est pourquoi ce poste doit être occupé par une personne qui écrit bien, qui a des compétences en relations publiques et en marketing, qui a une connaissance approfondie du fonctionnement d’Internet et des réseaux sociaux, qui est constamment informée de l’actualité et qui a un sixième sens pour distinguer les interactions spontanées des interactions malveillantes.

En conclusion, il y aura toujours une personne qui devra faire face aux situations de crise, et si cette personne n’a pas les capacités suffisantes, elle devra demander de l’aide à la direction, la réponse sera beaucoup plus longue à donner et le problème pourrait prendre des dimensions plus importantes.

Être bon dans la vie réelle et virtuelle

L’e-réputation est sans aucun doute façonnée par les expériences, positives ou négatives, des utilisateurs dans la vie hors ligne, dans leur relation (virtuelle et réelle) avec leurs connaissances. Par conséquent, bien que les clients aient la capacité d’améliorer ou de nuire à votre image, c’est vous qui avez le pouvoir de transformer chaque interaction avec eux en une occasion d’améliorer votre réputation.

Sur internet, ce qui compte c’est de ne jamais décevoir ses clients.

Si vous avez besoin d’aide en matière d’e-réputation, n’hésitez pas à contacter Laudans.

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